Nagoya … etcetera

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Well … trier, redimensionner et classer les photos de manière à ce que le tout soit un minimum cohérent me prenant beaucoup de temps, il vous faudra patienter un peu d’ici à ce que je poste les premières photos … Néanmoins, le weblog reprend du service ! So … tout d’abord, merci pour vos petits messages sur le portable. La réception semble ne pas poser problème mais je ne suis pas sûr que mes messages vous soient parvenus … Ensuite, merci pour les voeux ! Comme chaque année je m’y suis pris au dernier moment pour ‘tout ça’, et ayant un sainte horreur des mails groupés, je suis quelque peu en retard, désolé … Et pour finir, merci pour vos commentaires ! …

So … par où commencer ? Il me semble avoit trouvé du travail ! J’ai été contacté le 23 décembre au soir par la gérante d’un restaurant dont j’avais précedemment parlé- situé à Okazaki pour aider à la préparation de la salle et du repas en vue d’une fête de Noël pour 20 personnes. N’ayant jamais fait ce genre de travail auparavant, la cuisine n’étant pas véritablement ma spécialité, et n’ayant jamais travaillé parmi des gens ne parlant pas du tout ma langue, j’étais quelque peu anxieux, mais au bout du compte, tout c’est globalement bien passé. La famille gérant le restaurant -servant quelques plats français, par ailleurs- a été pour le moins charmante, accueillante et comma la plupart des gens au Japon, était dotée d’une certaine patience, patience qui était la bienvenue tant mon habileté légendaire en matière de maniement de couteaux peut énerver.

Une fois tout les clients partis et la vaisselle faite *sic*, j’ai été invité à prendre part à un excellent repas constitué des restes de la soirée, le tout accompagné d’un fort bon saké …

Si je dis qu’il me semble avoir trouvé du travail, c’est qu’il s’agissait là plus d’un essai qu’autre chose. Il est bien connu que les japonais ne vous diront jamais de face que vous êtes un incapable, incompétant ou malhabile. L’on m’a juste demandé si le travail m’avait plu, si je comptais travailler de nouveau, quand je quittais le pays -question à laquelle il m’était difficile de répondre, car si jamais ils me donnent ce boulot je suis certain de rester jusqu’en octobre – et à partir de quand j’étais disponible. L’on devait me contacter par téléphone, je compte me rendre demain au restaurant pour en savoir plus … Par contre, à aucun moment l’on m’a demandé un quelconque certificat de travail ou mon visa, et curieusement l’on m’a payé en cash *erm* …

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