L’on peut aisément scinder la carrière d’Aco en deux parties : Dans la première, l’on retrouve trois albums quelconques, un son mélange jazzy-groove dans le mouv’ auquel vient se coller une voix peu expressive, donnant naissance à une flopée de chansons sans grand intérêt. La seconde partie, qui m’intéresse davantage, voit au long de trois albums l’artiste se tourner peu à peu vers de nouvelles sonorités aux consonances trip hop, pour tomber dans son dernier album dans un délire à des années lumières de ses débuts. La chose a fort surpris, et d’ailleurs le grand public n’a pas suivi …
Hier, je me suis emparé du 181ème billet pour son concert qui aura lieu demain soir au Club Quattro Nagoya. Autour de 200 personnes pour une salle qui peut en accueillir autour de 800. Comme les concerts précédents, ce sera feutré, intimiste, convivial et forcément authentique …