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Il faut dire ce qui est : la courbe représentant le nombre de visiteurs de ce weblog par mois fait pitié. Une conférence de presse s’impose. [ 1ère partie ]

– Comment expliquez vous l’augmentation exponentielle du taux de fréquentation à partir de septembre 2002 ?

Celle-ci est premièrement due à la confirmation fin aout de la délocalisation de l’entreprise en terre japonaise. Cette confirmation, puis le départ en lui-même ont suscité un certain intérêt, car, comme on me l’a souvent répète, le Japon est une destination peu commune. En réponse à cet intérêt grandissant, il m’a semblé normal d’écrire de manière plus régulière afin de répondre aux attentes.

Par la suite, l’inscription, qu’elle soit volontaire ou non, à divers moteurs de référencement et le bouche-à-oreille ont fait en sorte que l’audience ne cesse de croitre et atteigne autour de 15 visites par jour fin novembre.

– On note un premier recul à partir de decembre …

La venue au mois de décembre de chefs d’états [ma mère et mon frère] et bon nombre de mises en examen [en langue japonaise] en sont responsable. N’ayant plus la possibilité de me consacrer uniquement au weblog, les mises à jour sont devenues moins fréquentes …

– Et pour ce qui est de l’accélération de la tendance à partir de janvier … ?

En janvier nous avons du faire face à de graves problèmes informatiques. En effet, pour une cause indéterminée, l’ordinateur central [mon bon vieux Compaq] est tombé en panne, nous obligeant à nous rabattre sur le réseau secondaire [la salle d’info de Yamasa], rudimentaire, très encombre et d’une lenteur certaine, empêchant ainsi la bonne poursuite de notre entreprise, avec pour résultat, la baisse de fréquentation que vous constatez.

– N’aurait-t-il pas suffi d’acheter un nouvel ordinateur ?

La chose nous est bien évidemment venue à l’esprit, surtout vu les petits miracles technologiques que l’on peut trouver sur le marché japonais, mais les ressources financières étant moindres et comme c’est au même moment qu’est apparue l’idée de poursuivre pour 6 mois supplémentaires notre entreprise au Japon, nous avons préféré rester sur l’ancien système, en tentant de l’exploiter au maximum.