été moins le quart.
L’avantage d’habiter sur une île, même lorsque celle-ci a la taille du Japon, c’est qu’où que l’on se trouve, la mer n’est jamais bien loin. Du coup, vu que nous habitons à 15 minutes de train de la mer, les départs en vacances à la mi-août dans le Sud en même temps que la moitié du Bénélux, la cohue sur l’autoroute, sur la plage et au buffet à volonté ne sont plus que des lointains souvenirs. Mieux, comme Shinmaiko se trouve sur le trajet qui me mène au travail, je ne paie pas le train.
On nous avait annoncé de la pluie, nous avons eu droit à un ciel bleu de toute beauté. Par contre, quel vent ! Les planchistes se sont apparemment régalés. Nous nous sommes régalés aussi, mais d’une toute autre manière, dans ce petit restaurant taïwanais sur lequel nous sommes tombés par hasard.
Ensuite, une promenade digestive sur la plage s’imposait. Il y avait peu de monde bien que nous soyons samedi, mais j’imagine le monde qu’il doit y avoir le week-end en plein été. Les pieds dans l’eau (fraîche), regarder avec amusement le comportement des couples pas encore tout à fait formés ( ‘étais-je moi aussi aussi maladroit ?’ ) et des jeunes parents, écrire quelques mots dans le sable, ramasser quelques coquillages, du sable et des algues et transformer une bouteille en plastique en aquarium, prendre quelques amusantes photos. Toutes ces petites choses qui font des moments inoubliables ..
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