‘Pour résumer, à part parler 6 langues, vous ne savez rien faire.’
En être conscient, c’est une chose, se l’entendre dire, s’en est une autre. C’est pourtant ce à quoi j’ai eu droit lors de mon premier entretien d’embauche. Par chance, il s’agissait d’un entretien pour un poste qui ne m’aurait à priori pas plu. Avec le recul, je pense que ce cuisant échec m’a été plus bénéfique, presque fondamental, puisqu’il m’a permis de me remettre en question et d’être ainsi mieux préparé pour un autre entretien, le lendemain, pour une autre boîte à mes yeux bien plus intéressante. J’ai bien fait, car de fait, j’ai optenu le poste.
Vendeur ! A 16 ans, dés mon premier job d’été à la BCEE, j’ai su que rester derière un bureau, ce n’était pas mon truc. Depuis, j’ai travaillé en librairie pendant deux mois, j’ai – entre autre – vendu des produits japonais à Paris pendant un an. Finalement, le contact avec le client est quelque chose qui me plaît bien plus que je ne l’avais cru tout d’abord. Or, là, il ne s’agit pas de n’importe quel magasin, puisque je vais travailler à l’aéroport de Nagoya, au magasin Duty Free de quelque grande marque de vêtement. Je ne l’ai jamais dit, mais j’adore les aéroports, il m’est arrivé un bon nombre de fois de me rendre à l’aéroport de Luxembourg ou au Charles de Gaulle alors que je n’avais rien de spécial à y faire, juste pour l’ambiance qui y règne. Bref, je suis tout à fait satisfait !
Je suis en formation jusqu’à lundi soir. Mardi, c’est le grand départ …
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